• Keith HARING - exclusive ;

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  • 31 octobre 2013. Images/photos pouvant être protégées par Copyright ou autre.

    - Yayoi Kusama pose dans l'univers de Keith Haring - Yayoi Kusama in Haring -

      Extrait Wikipedia :

    """"" Yayoi Kusama est née le 22 mars 1929 au Japon. Les parents de Kusama, Kamon et Shigeru Kusama, ont par leur attitude, contribué à l’aspiration révolutionnaire de l’artiste.

    Kusama a grandi dans une société japonaise patriarcale, incomprise de ses proches, réprimandée par sa mère particulièrement autoritaire, qui ne comprenait ni la maladie de sa fille ni son besoin de peindre. Cela n’aura cessé d’imprimer dans son travail un ton anti-machiste, égalitaire, un ton de provocation, prônant la liberté et la justice. 

    « Tout a commencé par les hallucinations » affirme Kusama, dont les premiers souvenirs de celles-ci remontent à ses dix ans. « Un jour, après avoir vu, sur la table, la nappe au motif de fleurettes rouges, j'ai porté mon regard vers le plafond. Là, partout, sur la surface de la vitre comme sur celle de la poutre, s'étendaient les formes des fleurettes rouges. Toute la pièce, tout mon corps, tout l'univers en étaient pleins ». Ces tâches, ces pois, nourriront son impression d’être « intégrée au décor ». Elle réalise ses premières œuvres  dans les années 1950, autour de motifs récurrents issus d’hallucinations d'enfance, tels que les pois, qui deviendront sa marque de fabrique.

    En 1957 elle quitte le Japon pour vivre à Seattle puis en 1958 à New York où elle participe indirectement, et à sa façon, aux mouvements du Psychédélisme et du Pop Art, proche de Donald Judd, Mark Rothko, Barnett Newman ou Andy Warhol.

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    Pour Kusama, la peinture est avant tout la seule alternative à sa folie : « quelque chose d‘instinctif et de primitif, bien loin de l’art ». Ses immenses peintures (parfois plus de dix mètres de long), lui valent une place de choix sur la scène avant-gardiste, mais sont avant tout pour elle « des rideaux » qui la séparent des gens et de la réalité.

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    Elle est fascinée par la capacité des médias à faire circuler rapidement ses idées, ses images. Elle s’assure de la présence de la presse à ses happenings, et a toujours été consciente de leur pouvoir. Ses photos les plus récentes affichent souvent une Kusama immobile sévère, les yeux écarquillés face à l’objectif. """"" 


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